Comme il l'a dit lui-même, un océan ne nous séparait plus : une bonne raison pour envisager une rencontre. C'est donc avec plaisir que j'ai serré la main de mon éminent collègue Brio (qui lui me l'a serrée avec brio, mais c'est normal). Je me suis senti tout petit, parce que son blog jouit à juste titre d'une réputation flatteuse, d'une audience que je lui envie quand j'ai des pulsions mégalomaniaques, et d'un volume d'archives que j'atteindrai peut-être un jour si j'arrive à passer la troisième période de demi-vie de ce carnet. Parce qu'il est très grand, aussi ;)
Dans ce café parisien, nous avons parlé. De nous, de blogs, de BD, de littérature un peu ; d'écriture beaucoup. D'écrire ensemble pourquoi pas. Qui sait où cela nous mènera chacun...

Flânons donc.