dimanche 21 septembre 2008
à 21h26 par le Flâneur
divers
Il y a de tout dans les salons littéraires. On peut même parfois y voir des téléscopages ahurissants, tels que Hervé Vilard assis à côté de Jean-Louis Debré, chacun derrière une pile de bouquins. La littérature française a de beaux jours devant elle...
Flânons donc.
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vendredi 4 avril 2008
à 10h51 par le Flâneur
divers
Vous voyez les petits poteaux blancs, triangulaires, qu'il y a parfois le long des routes de campagne ? Eh bien au Luxembourg, la DDE locale est très bien équipée. Donc vous pourrez éventuellement croiser, comme cela m'est arrivé, une grosse machine orange roulant au ralenti au bord de ces routes. Sur cette machine orange, un gros bras articulé orange. Au bout de ce bras orange, deux rouleaux qui tournent. Un coup en descendant, un coup en remontant, et hop ! le poteau est propre.
Vous avez bien lu, au Luxembourg ils ont (au moins) une nettoyeuse à poteaux. On n'arrête pas le progrès.
Flânons donc.
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jeudi 11 octobre 2007
à 18h29 par le Flâneur
divers
Derrière moi ce soir en rentrant du boulot. Au volant d'une Golf rouge, un type coiffé en brosse avec trois kilos de gel, lunettes de soleil miroir, grosses bagouzes sur les doigts, lapin plèboy accroché au rétro, et évidemment les basses à fond. Bien endendu, il s'est dépêché de me doubler à fond de train dès qu'il a pu (rouler à cinquante en ville, c'est pas tendance)... et c'est là que j'ai pu admirer le superbe A qu'il avait collé au derrière !
Je sais bien qu'il ne faut pas juger sur les apparences, mais est-ce que je peux faire une exception ? Z'êtes bien aimables.
Flânons donc.
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lundi 30 juillet 2007
à 18h28 par le Flâneur
divers
Ce week-end, je me suis trouvé à Nancy, pour un de ces concerts d'été gratuits comme il en existe ici et là. Vendredi, j'étais un parmi 28 000, et sur la scène c'était Zazie and co. Très chouette.
Mais avant ledit concert, nous avons eu droit à une première partie et même une avant-première partie. Forcément, il y avait des temps morts entre tout ça, et donc un présentateur pour lier le tout et boucher les trous. Un petit rigolo pas toujours drôle que je ne connaissais pas, n'étant pas nancéien moi-même. Le fin du fin, ça a été entre les deux premières parties, avec une présentation (j'imagine contractuelle) de Miss Nancy et ses dauphines. Monsieur Rigolo a essayé de faire dire quelques mots à la demoiselle, et comme souvent c'était laborieux. Je ne sais pas comment il s'est débrouillé, mais il a fini par la qualifier de miss Quiche Lorraine ! Quelques personnes autour de moi ont réagi par de grands éclats de rire. Tout n'est pas perdu.
Flânons donc.
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samedi 9 juin 2007
à 14h30 par le Flâneur
divers
... ou comment résumer mon escapade italienne de ces derniers jours.
Avec une photo en prime.
Flânons donc.
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mardi 27 mars 2007
à 17h47 par le Flâneur
divers
Aperçu aujourd'hui...
Un grand "4 par 3" pour le faillitaire, recouvert dans un coin par une petite affiche pour... Arlette.
Arlette a été mise en faillite ? Arlette est à vendre ?
Et la plus grande question : les colleurs d'affiches, professionnels et amateurs, ont-ils l'humour volontaire ou involontaire ?
Flânons donc.
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vendredi 16 mars 2007
à 13h46 par le Flâneur
divers
Imaginez un petit institut de recherche où, pour toute la gestion du personnel, le mot d'ordre serait de favoriser la mobilité des chercheurs, donc de n'embaucher les gens qu'en CDD. Ah oui, mais pour tout le "support" administratif, il faut une certaine continuité : les administratifs sont donc en CDI. C'est très bien, mais pour récolter des fonds sur des projets de recherche, il faut se faire connaître avant le début du projet en lui-même, et assurer la liaison avec les projets suivants : les chefs de projets, directeurs de recherche ou chefs d'équipe sont donc en CDI aussi. Parfait, mais pour que les laboratoires tournent correctement, pour tout ce qui est très basique comme les machines, les commandes, les stocks et tout ce qui va avec, il faut un minimum de continuité aussi : les techniciens sont donc en CDI.
On en arriverait donc à une situation assez ahurissante, où les gens qui travaillent pour le coeur de cet institut, ceux qui font véritablement avancer la recherche, chercheurs, thésards et post-docs, sont les seuls à "bénéficier" d'emplois précaires...
Si je vous dis, comme vous l'aviez sans doute deviné, que ce type de structure existe réellement, vous croyez encore que puisque les chercheurs ne sont plus dans la rue, c'est que la recherche doit aller mieux ?
Flânons donc.
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