La fille de Dreïa : pas de l'or, mais du plaqué
le mardi 23 novembre 2004 à 18h40 par le Flâneur littéraire
Au cours de mes lectures, il m'arrive parfois de tâter de la science-fiction. De la connue, avec notamment le maître Asimov, et de la moins connue, comme c'est le cas ici. La fille de Dreïa est le premier tome d'un cycle intitulé Les Portes du Temps et écrit par Corinne Guitteaud.
Nous sommes dans un monde moyenâgeux et plus ou moins magique, bref un vrai monde de type "heroic fantasy" (désolé, pas de terme français équivalent à ma connaissance). Ce monde compte sept portes, surveillées chacune par un gardien ou une gardienne attitrés. Ces portes ouvrent sur un intermonde de limbes et de néant, peuplé de créatures pas toujours bienveillantes. Or justement une menace pèse sur ce monde car un gardien renégat a fait pénétrer une créature maléfique et bientôt son armée. Mais voilà que les autres gardiens font une découverte surprenante : Aÿrah, héroïne des temps jadis, s'est réincarnée dans le corps d'une jeune fille. Mille ans auparavant, elle avait déjà mené d'audacieux combats pour écarter un péril similaire. Personne ne sait au juste comment elle est revenue, mais tout le monde imagine bien pourquoi...
J'ai trouvé qu'il s'agissait là d'un roman de SF somme toute assez classique. Bien imaginé, bien raconté, mais sans originalité flagrante. Et puis, il y a le côté presque obligatoire de la SF : une "nomenclature" toute neuve pour les familles, les titres de noblesse, le bestiaire... C'est bien joli mais ça fait un peu plaqué. Tous ces noms bourrés de f, de g, de h et d'apostrophes ne facilitent pas vraiment la lecture. Un peu lourd. Mais dans l'ensemble, pour un auteur qui a tout juste mon âge, c'est remarquable.
Flânons donc.
Nous sommes dans un monde moyenâgeux et plus ou moins magique, bref un vrai monde de type "heroic fantasy" (désolé, pas de terme français équivalent à ma connaissance). Ce monde compte sept portes, surveillées chacune par un gardien ou une gardienne attitrés. Ces portes ouvrent sur un intermonde de limbes et de néant, peuplé de créatures pas toujours bienveillantes. Or justement une menace pèse sur ce monde car un gardien renégat a fait pénétrer une créature maléfique et bientôt son armée. Mais voilà que les autres gardiens font une découverte surprenante : Aÿrah, héroïne des temps jadis, s'est réincarnée dans le corps d'une jeune fille. Mille ans auparavant, elle avait déjà mené d'audacieux combats pour écarter un péril similaire. Personne ne sait au juste comment elle est revenue, mais tout le monde imagine bien pourquoi...
J'ai trouvé qu'il s'agissait là d'un roman de SF somme toute assez classique. Bien imaginé, bien raconté, mais sans originalité flagrante. Et puis, il y a le côté presque obligatoire de la SF : une "nomenclature" toute neuve pour les familles, les titres de noblesse, le bestiaire... C'est bien joli mais ça fait un peu plaqué. Tous ces noms bourrés de f, de g, de h et d'apostrophes ne facilitent pas vraiment la lecture. Un peu lourd. Mais dans l'ensemble, pour un auteur qui a tout juste mon âge, c'est remarquable.
Flânons donc.
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